La Ou Tout à Commencé...

.::A bord du Red Bone, en direction d'Ohara::.

Voilà maintenant plus de deux jours que j'avais pris la mer à tavers la grande West Blue. J'étais aux anges: c'était mon rêve qui se réalisait. Voguer libre comme l'air, et ceci à travers la mer, quoi de plus passionant et fascinant ? Non, réellement c'était un vrai plaisir. A chaque fois que la bise océanique se levait, je sortais des cabines pour me délecter abondamment de ce plaisir qu'est l'appel de la mer. Quelque chose de bienfaiteur, quelque chose d'ardu, et qui fait naître en moi beaucoup d'excitation. J'avais bien fait de me lancer à travers ce monde impitoyable, après tout c'était tout à fait dans mon domaine. En comparaison avec celle que je vivais maintenant, je pouvais dire que rien que ces deux jours par lesquels j'ai pris la mer sont beaucoup plus sensés que cette vie que je menais auparavant. Non mais serieux, être un noble ça a peut-être des avantages, mais c'est vraiment déprimant en long et en large.

Assis sur une chaise à table sur le pont, je buvais encore une fois une tasse de thé tout en regardant l'horizon qui s'offrait à moi. C'est si excitant. Aller droit de l'avant, et ne pas savoir sur quoi exactement on va tomber. Mes notions de navigations étaient confirmées, mais je ne connaissais pas vraiment la géoposition des îles même de West Blue, encore une chose qui me permettra de goûter d'avantage à cette joie qu'est l'aventure. Découvrir de nouveaux horizons, et surtout Grand Line. C'est sûr, on va drôlement s'amuser.... enfin "on".

Je me disais que j'étais quand même drôlement seul sur ce grand navire. Non mais sans blague, je trouvais ceci complètement ridicule. Quand même, ce bateau pourrait accueillir bien une centaine de personnes faciles, mais la j'étais seul sur ce navire. C'est quelque chose de vraiment pitoyable: un équipage de pirate ne peut pas se contenter que de ceci, et encore on à jamais vu ça ! C'est donc la chose qu'il fallait travailler: trouver des compagnons, et si possibles dignes de confiance. Mais où trouver les perles rares ? Je ne sais pas. C'est si dûr de trouver ce genre de personnes que ça en devient quelques fois impossible. Je m'en fous complètement qu'elles soient fortes ou pas ces personnes, je veux tout simplement qu'elles soient vraies et qu'elles m'accompagnent. Aucun capitaine pirate n'est seul, même Sayuki n'a pas été seul. C'était d'ordre impératif et vital. Je me suis mis alors à penser à quel genre de compagnons avoir.

L'idéal, ça serait d'avoir un médecin, un cuisinier, un charpentier, un cannonier, un tireur d'élite, et pourquoi pas un musicien, histoire de mettre de l'ambiance. Ce qu'il faudrait aussi, c'est une multitude de mousses pour les grands assauts. Eh bien... voilà que je me mets à parler comme un vrai organisateur. Ca me faisait rire, et pourtant ça serait ce qui allait m'arriver tout le long de ce grand voyage qui m'attendait. Dans le fond, ça me déplaisait pas, c'était même plutôt facile et jouisif dans un certain sens. Bon, il est vrai que je ne veux pas priver mes futurs nakamas de leur liberté, c'est pourquoi il faudra pas que je sois catégorique. Mais soudain, alors que j'étais dans mes pensées, quelque chose comme un bruit lourd se fit ressentir sur l'arrière pont. Je me hissais alors au mat pour monter dessus, afin de voir qui était ce trouble fait sans que lui même sache que je l'observe. En avancant petit à petit sur le bois du mat, j'aperçevis alors quelque chose qui m'étonnait: une sirène ?

Lydie était bouleversée. Dans les abysees de l'océan, elle recherchait la broche dorée de sa mère en bas que ce Poddon, un bandit d'Ohara, avait jeté dans la mer. Cette chose est la seule chose qui reste de sa mère, elle ne voulait surtout pas la perdre, surtout après ce tout petit parcours. C'était ce qui lui redonnait du courage, et l'aidait à faire face aux préjugés que les gens font sur les sirènes. Certains disent que les sirènes sont des sous-hommes, des races primitives et moches, alors que c'est tout à fait faut. Tout ceci, c'était de la jalousie, de la pure médisance. Les sirènes sont sans aucun doute l'une des espèces les plus magnifiques de ce monde, à cause de leur beautée et de corps magnifique. Mais tous ces hommes, tous ceux qui n'ont pas la chance d'avoir ceci sont complètement jaloux, et pour satisfaire leur égo disent que ce sont les êtres les plus détestable du monde.

Sous la mer, Lydie nageait rapidement et ce dans tous les sens. Elle avait l'impression que chercher suffirait à rien du tout, étant donné qu'elle ne le trouvait pas. Cepedant, elle n'abandonnait pas et redoublait d'efforts. Mais soudain, alors qu'elle se portait tranquille, elle vit un serpent des mers énorme. Lydie était stupéfaite, elle ne s'attendait vraiment pas à cela. Les monstres des mers étaient pourtant rares dans ces régions la, c'est tout de même bizarre. Les yeux rouges menaçant et la peau jaune de celui-ci portait à croire que ce dernier n'était pas prompt à la discution, Lydie détala rapidement: au début dans tous les sens, puis après dans une même direction, en évitant avec agilité les différents récifs de corail qu'elle croisait. Puis, quand l'espoir était perdu, elle regarda à la surface: un bateau, de couleur noire et rouge. Elle n'avait plus aucune échappatoire, elle se devait de le rejoindre pour ne surtout pas se faire manger. C'est d'ailleurs ce qu'elle fit.

Elle fit alors surface sur un bond prodigieux, puis atterit sur le pont de l'immense navire. Le serpent de mer la précéda, mais ce dernier fit surface lui à côté du bateau. Il regardait alors en se léchant les babines sa victime qui n'était autre que la sirène qui avait remplacé sa queue de poisson par des jambes et une jupe noire. Elle était pétrifiée, elle ne savait plus quoi faire. Le navire allait coûler, et elle allait être mangée par ce serpent. C'est alors qu'elle vit un homme au dessus d'elle, un homme sur un mât. Elle le regardait d'un air désolé. Décidemment, tout semblait fini pour eux.

Non, je n'avais pas rêvé, c'était bel et bien ce que je disais: une sirène. J'étais à la fois stupéfait et intrigué, je n'avais jamais vu cette espèce auparavant. Je me demandais même si c'était possible, si ce n'était pas une histoire de contes de fées. J'avais beau ouvrir et fermer mes yeux, je ne rêvais pas. On m'avait dit que quelque part dans ce monde, il devait y avoir une île ou un archipel comportant des espèces comme cela, on les appelles plus communément des tritons, mais comme je n'en avais jamais vu auparavant, j'ai supposé que c'était sûrement une légende urbaine. Enfin, je le découvrirais sûrement tôt ou tard au cours de ce voyage, la mer n'a en tout cas pas fini de me surprendre.

Cette personne devrait être déja exceptionnel du fait de son apparence. Elle n'était d'ailleurs pas horrible du tout, je la trouvais magnifique. Elle avait un visage d'ange: des yeux d'un bleu à s'y perdre, et des cheveux étrangèrement bleus mais sans ôter rien du tout à son charme, c'était une charmante demoiselle. Elle m'était apparue avec une queue de poisson, mais au bout d'un moment, elle avait fait apparaître des jambes d'humains. J'aurais déja voulu en savoir plus sur elle, elle m'intriguait beaucoup simplement de sa présence. Pourquoi pas même l'intégrer dans mon équipage ? Non, c'est beaucoup trop tôt pour tirer ce genre de conclusion. C'est alors que soudain, un énorme serpent de mer jaillit de l'océan. Mon étonnement était au grand maximum. Il s'apprêtait à foncer sur la sirène, et par la même occasion sur le bateau. Je devais faire quelque chose dans les minutes qui venaient, sinon je n'aurais plus de moyens de locomotion. Je m'élançais alors du haut du mat pendant que l'animal fonçait sur le bateau, je lançais aussi une de mes techniques.

Sekine: Barrière Sonique !

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Cette technique servait tout d'abord à ériger devant moi une grande barrière qui permettra de protéger le bateau ainsi que la sirène. La technique avait très bien marchée, la bête s'était cognée a la barrière et s'était fait une belle bosse au niveau du front. Ses yeux devinrent alors rouges de colère: elle allait revenir à la charge et sûrement plus fort. J'étais toujours en l'air, j'exécutais alors une autre de mes techniques contre cette bête.

Sonic Punch !

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Cette fois-ci, je m'élançais contre le bois du mât puis alla donner un énorme coup de poing à la monstrueuse bête et ce à la vitesse du son par le biais de mon fruit du démon. Ca avait marché, la puissance dégagée à cause de la vitesse avait suffit à faire défaillir le serpent. Ce dernier se redressa pourtant, mais pris alors peur et disparût dans les profondeurs de l'océan. J'attéris alors sur le pont du navire, devant la sirène. Je repris alors mes esprits, puis la regarda. Elle semblait assée déboussolée aux premiers abords, ce qui est tout à fait compréhensible. Enfin, ça me fera un peu de compagnie, je décidais alors de me présenter à elle. Je pris alors sa main pour lui faire le baise-main, puis lui dit:

« Bonjour jeune demoiselle, ou plutôt dois-je dire madame la sirène. Je suis le comte Costa De Gamma, enfin... plus un comte maintenant. Vous m'avez l'air de ne pas être une personne ordinaire... que diriez-vous de faire plus ample connaissance ? »

C'était la fin. La bête, aussi colossale soit-elle, fonçait droit sur le navire, et également sur la sirène. Pétrifiée. Ebahi. Désespérée. Larmes aux yeux. Tout était fini. Plus aucun espoir. Elle ne sera donc jamais ce qu'elle aurait voulu être dans cette vie, jamais. Jamais elle ne sera ce médecin de renomée, jamais elle ne sera comme cette dame à qui elle a donné toute son admiration, sa mère. Jamais elle ne connaîtra la joie de trouver des gens honnêtes et francs qui la soutiennent dans cette grande et périlleuse mer. Tout était fini, tout était tracé pour elle. Le serpent de mer avait ce regard aussi colérique que quand elle l'avait dérangé, ce regard qui voulait dire: tu vas mourir. Sa vie entière depuis sa toute petite enfance défilla dans sa tête. Pour elle, c'était vraiment fini, il n' y avait plus aucune échappatoire possible. Mais alors que tout semblait perdu, un évenemment des plus improbable pour elle arriva.

Difficile à croire, mais l'énorme monstre des mers s'était cogné sur une barrière. Lydie était estomaquée, sans voix. La barrière était d'une lumière céleste rose, et assez grande. Elle ne comprenait pas, Lydie. D'ou venait cette chose ? En ce moment pour elle, toutes les expliquations les plus impossible pourraient servir à expliquer ce phénomène. Mais par dessus tout, elle se demandait si ce n'était pas cet ange qui la protège la haut: sa maman. Mais alors qu'elle était toute tremblottante, une chose attira son attention, un reflet doré sur le plancher du pont. C'est cet homme. Des cheveux longs et rouges, des lunettes, et cet accoutrement de personne distinguée. Il état là, la main tendue en l'air, en train de regarder le monstre s'échouer sur l'océan. Lydie se demandait si tout était vraiment réel, si cet homme avait VRAIMENT crée cette barrière. Mais elle n'eut pas le temps de se remettre de ses émotions.

Oui, le même homme était encore une fois passé à l'action. Il avait bondi à une vitesse éclair sur le mat du bateau et avait plongé sur la bête en émettant un poing dépassant la vitesse normale d'un être humain, si bien que Lydie n'avait presque rien vu de l'attaque, tout s'était passé si vite. La bête elle qui allait repasser à la charge verte de rage se fit écraser en quelques secondes. Elle avait maintenant pris un énorme coup, et avait pris peur: elle s'était réfugiée dans les abysses de l'océan. Lydie était déboussollée. Elle avait juste compris ce qui venait de ce passer, elle venait d'être sauvée par ce gars, gars qui était maintenant venu à sa rencontre. Arborant un sourire des plus grands, il baisa la main de la sirène puis se présenta. Costa Gamma. La sirène se secoua la tête comme pour réorganiser ses pensées. Après quoi, elle enleva sa main de celle de l'homme, puis pris un air assez sévère. Elle avait peut-être été sauvée, mais elle ne voulait pas faire la rencontre de cet homme. Elle lui dit alors, encore déboussolée:

« Euh... merci de m'avoir sauvée... mais je n'ai pas a vous dire mon nom, après tout vous en avez rien à faire ! Aurevoir ! »

Sur ce, elle replongea dans les profondeurs aquatiques. Elle devait chercher sa broche, elle n'en avait que faire de cet homme. Elle était cependant troublée... elle se demandait pourquoi elle avait été sauvée ainsi. Serai-ce possible que cet homme soit quelqu'un qui se ficherait de son apparance ? Non, impossible pour elle. Cette chose lui hanta l'esprit tous le moment de sa plongée. Elle regarda alors un poisson. Celui-ci nageait seul pendant un long moment, puis alla rejoindre un banc de poissons. Des amis ? Etait-ce possible ?

~ Fin du Rp ~

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